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Avec sa petite robe d'un éclatant jaune soleil, le citron, limoun en arabe, évoque toutes les saveurs des pays chauds. On le retrouve aussi bien dans la gastronomie des pays méditerranéens qu'en Inde, où avec le piment il relève les chutneys , ou encore en Polynésie, où il accompagne les poissons. La cuisine marocaine a surtout décliné son goût acidulé en versions salées, tagines, poissons ou confits... Le citron,fruit et de d'or lumière Le citron est connu depuis si longtemps qu'il n'en existe plus de forme sauvage. Les premières traces de sa culture remontent à sept mille ans et ont été identifiées au pied de l'Himalaya. Il quitta les contreforts du Cachemire vers le deuxième millénaire avant JC pour gagner la Chine où il fut rapidement adopté. Baptisé alors limung, il entra en Perse sous ce nom. De là, il conquit la Mésopotamie avant d'envahir tout le bassin méditerranéen. La conquête arabe fit de l'Espagne son royaume. Les pommes de Médie, selon l'appellation de Théophraste, connurent alors au Maghreb un succès jamais démenti... Le Maroc, c'est le royaume des « Quatre-Saisons », l'une des variétés de citro nniers les plus répandues et les plus productives du monde. L'écorce finement grenue du Citrus Limon Eureka – comme le nomment les scientifiques – exhale un riche bouquet et protège une chair juteuse. Sur ses branches sinueuses où se déploient de longues feuilles vernissées, s'épanouissent tout au long de l'année des boutons teintés de rose en même temps que des fleurs blanches, des petits fruits verts et de lourds fruits jaunes, qui poussent parfois directement sur le bois précieux, dur et odorant. D'un ovale parfait prolongé par un téton pointu, le fruit est revêtu d'une écorce jaune acide tirant vers le soufre. La floraison d'avril donne les citrons d'hiver et celle de septembre donne les fruits d'été. Les « Quatre-Saisons » garnissent ainsi les étals de fruits et les tables tout au long de l'année. L'architecture berbère n'a jamais été influencée par la conquête arabe et le développement de l'art hispano-mauresque. Les kasbahs du sud sont la plus belle expression de cet art rural dont les spécificités sont d'ailleurs fort proches de l'habitat traditionnel yéménite. Ces superbes bâtisses en terre jouèrent un rôle fondamental durant des siècles. Elles étaient les demeures fortifiées des seigneurs. Isolées et situées sur une position dominante, elles exprimaient l'autorité des caïds (représentants du sultan) ou des Pacha (gouverneurs d'une ville impériale). Les kasbahs contrôlaient les oasis et leurs voies d'accès, servaient de points de ravitaillement pour les habitants du désert et défendaient les caravanes contre les brigands et les pillards nomades. Actuellement, elles abritent plutôt des notables ou des cultivateurs, lorsqu'elles ne sont pas tout simplement à l'abandon. La construction des kasbahs obéit à plusieurs règles architecturales. Sur des fondations de pierre, d'épaisses murailles, flanquées de quatre tours d'angle ornées de merlon en épis, délimitent la construction. Les murs sont en pisé, mélange de terre et de paille selon un procédé ancien qui isole de la chaleur et du froid. Le centre de l'habitation est un patio, véritable puits de lumière pour l'ensemble. L'ornementation extérieure des tours et du haut des murs est en adobe, briques de terre crue argileuse, qui permet d'exécuter des motifs en creux et en relief qui ajourent les parties hautes. Mais toutes les kasbahs ne sont pas celles d'un Pacha et les demeures rurales sont plus simples et regroupées au sein d'un même village. Protégées de remparts avec une seule porte d'entrée, elles forment alors un ksar (pluriel : ksour). Ces villages, construits en pisé, prennent la couleur de leur terre d'origine, qui, passant du ocre au rouge, les rend tous différents. A l'origine, cet habitat rural en terre fut édifié par des familles de nomades qui, ayant décidé de se sédentariser, recherchèrent une construction plus solide que leur tente de laine pour faire face aux intempéries et aux ennemis. C'est pourquoi les ksour, petites forteresses, sont établis le plus souvent sur des pitons rocheux ou en bordure de falaise. Ouarzazate, ainsi que la vallée du Drâa et la vallée du Dades offrent les plus beaux spécimens de cette remarquable architecture de terre. « Il y a quelque chose de mystique et de secret dans la création d'un parfum que je n'arrive pas encore à bien saisir. Ce que je sais aujourd'hui, c'est que son élaboration laisse une forte impression : quel bonheur que de participer à sa naissance ! Un parfum est un concentré d'émotion, de rêve, d'amour et de partage. Faire un parfum, c'est créer par une composition d'odeurs complexes un climat poétique et imaginaire, traduire avec passion une histoire, des souvenirs et se perdre dans les labyrinthes des jardins secrets de notre être. En créant Les Parfums du Soleil, j'ai voulu, à ma manière, offrir en partage une autre facette de l'art de vivre de mon pays. » Sous son panama qu'il ne quitte jamais, les idées foisonnent. Il ne devrait pas tarder à en sortir un nouveau projet. Toujours dans un seul et même but : protéger puis mettre en valeur toutes les richesses inexploitées du Maroc.

 

 

 

 

 
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