Le Maroc

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Etant la capitale de l'artisanat, du folklore, de la culture et du patrimoine architectural du Sud, Studio aux portes du désert, la ville de mille Casbahs, Ouarzazate, renferme des atouts et sites touristiques de grandes valeur encore vierges et offre une extraordinaire opportunité de repos et de dépaysement, aux visiteurs locaux et internationaux. Ces atouts et potentialités naturels constituent un contraste éblouissant, mariant désert, montagnes enneigées, oasis verdoyantes et vallées si diversifiées, dont la composition naturelle est unique dans son genre au Maroc et parmi les plus belles au monde, car l'une en fait oublier l'autre. Cette région peuplée par les berbères du Moyen et du Haut Atlas, des gens de M'hamid, des arabes, des juifs, constitue un brassage de cultures et de civilisations, ce qui fait son esprit de tolérance, de dévouement et d'hospitalité de ses citoyens connu par leur patience et endurance, à l'intérieur comme à l'extérieur du pays. Ouarzazate, bien que faisant partie de la région du Souss Massa Daraa, se caractérise par ses particularités culturelles et artistiques inégalées, et notamment le tissage des tapis, le folklore riche, le et varié, la fabrication des poignards.... Ces arts et cultures, dont est riche cette région du Grand Sud, se localise dans différents points bien précis et distincts. Ces contrées renferment chacune des spécialités de l'artisanat, du folklore et de cultures, toutes différentes l'une de l'autre, dont la renommée a franchi les frontières. La région de Serwa qui s'étend entre Ouarzazate et Agadir, offre une vue panoramique sur ces hautes montagnes, le mont Serwa d'une hauteur de 3304 m constitue le sommet le plus haut de ces montagnes. Les populations de cette contrée sont composées de tribus berbères et de communautés juives dont on conserve toujours les traditions. Serwa compte les cinq tribus suivantes : Ait Ikhazzamn, Ait Ourghda, Ait Maghlif, Ait Tammasine et Ait Samkan. Ces tribus ont vécu des conflits internes qui se sont accentués au 12éme siècle. Au début du 20éme siècle, avec l'arrivée de la colonisation, elles se sont fait unir pour faire face aux colons. Cette union a évidemment fait leur force, ce qui a crée un mélange de cultures qui s'est reflète sur la danse, la musique, la poésie et le tissage. La femme de cette région garde toujours l'art du tissage d'un tapis exceptionnellement décorés de dessins et de symboles ayant attraits à la culture locale et qui servait de supports de communication d'amour. Et afin de mieux découvrir profondément la culture ces tribus berbères, il y a lieux de lire à travers leurs arts qui en est la principale clé. La communauté berbère qui s'est installée dans la partie nord de Ouarzazate constitue une véritable confrérie d'artisans très significative de point de vue coopération et solidarité artistique. Leur artisanat est constitué de mélange de symboles, de cultures et de savoir faire ancestral très riche et diversifié, hérité d'anciennes communautés juives qui ont cohabité pacifiquement, des siècles durant, avec les berbères. L'artisanat de cette partie de la province est marqué par la conception, essentiellement, de poignard, , de la bijouterie, qui comportent des symboles locaux. Les symboles que l'on trouve sur les objets d'artisanat sont principalement la croix du sud qui représente la constellation qui guidait les juifs à travers le sahara. Celles- ci, est souvent jointes à la main de Fatima, fille du Prophète Sidna Mohamed, que paix soit sur lui. Les marocains utilisaient ce symbole également pour se protéger contre le mauvais oeil. Ces histoires et d'autres sont souvent inter mêlé partout dans l'art berbère. Quant aux Gorges de Todra, elles constituent un point d'attraction très important dans la région. Leur grandeur est fascinante et se trouvent à 15 kilomètres de la ville de Tinghir. Constituant un carrefour pour les tribus de Ait Ouaouzguite, Anzel est le haut lieu du tissage des tapis appelé z-zarbia l-ouzguitia, identifiables par la couleur de fond orange. Cette couleur est obtenue grâce à une teinte naturelle extraite de la plante Ashfud. Cette méthode traditionnelle commence par le lavage de la laine dans des canaux d'irrigation. La laine est ensuite brossée, séparée et transformée en fil. Après, elle est teintée, rincée et placée dans le métier à tisser. Pour faire un tapis il faut attendre un à deux mois. Les tapis confectionnés sont ensuite acheminés au souk de Taznakht, ville à côté, pour les vendre. Taznakht est le centre d'attraction de tous ces métiers de tissage, c'est le marché traditionnel de tisseurs de la région. Les femmes arrivent donc grâce à, la commercialisation des tapis de subvenir à leurs besoins vitaux. Actuellement une association est créée et qui regroupe un grand nombre de tisseuses leur permettant de vendre décemment leurs produits. A Azlag, la fabrication des poignards remonte à plus de 800 ans. Les berbères les avaient fabriqué comme arme pour se défendre et survivre. Actuellement, ses objets d'art locaux sont réservés aux cérémonies et aux danses traditionnelles. Ces poignards comportent des symboles juifs, islamiques, romains et berbères. Un grand nombre de personnes travaille dans cet artisanat, qui s'est transformée en coopérative en 1986. Cette coopérative qui compte 50 ateliers, trouve son siége à Kelaa M'gouna, et permet la préservation de cette tradition. Cette activité permet de faire vivre plus 1000 membres de familles. Devenue un point de commerce prospère, la ville de Tinghir compte actuellement plus de 1800 artisans locaux. C'est un vrai centre d'attraction commercial de la région. Orfèvres, menuisiers, forgerons y font un étalage au centre de la ville. Des artisans ont toujours gardé la tradition de leurs pères. C'est très encourageant de voir conserver ces savoirs ancestraux. Les souffleurs anciennement utilisés pour entretenir le feu de la cuisine, sont aujourd'hui vendus comme éléments décoratifs des coins des intérieurs des maisons. L'architecture locale, qui n'est autre que la construction en pisé, le Zalleg, le tadellacte, est devenue à la mode. Que de maisons d'hôtes et de Raids sont fait à la manière des anciennes Casbahs de Ouarzazate. C'est dire que les façons de faire de cette région ont une grande valeur au coeur des marocains et des étrangers. Ce patrimoine architectural émerveille à chaque fois les visiteurs. D'ailleurs certaines de ces Casbahs sont reconnues patrimoine universel de l'humanité par l'UNESCO. Ces Oasis, ses vallées, ses palmeraies, ses étendus vastes, ses montagnes diversifiées, sa grande luminosité ...etc., ne font qu'attirer, d'année en année de nouveaux amoureux qui en font leur destination habituelle. Ces studios de tournages, son centre de formation aux métiers du cinématographiques, ses contrastes géographiques, en font une terre de prédilection du cinéma international, et un plateau de tournage incontournable, c'est d'ailleurs pourquoi un protocole de coopération et jumelage, avec Holly Wood et Ouarzazate est prévu. Ce projet est en phase finale pour être présenté à la signature prochainement. Les troupes folkloriques de la ville du cinéma constituent le noyau dur de la culture et du patrimoine culturel et artistique du royaume, car elles sont si diversifiées et si riches. Plus d'une vingtaines de troupes sont actives et qui sont présentes dans toutes les cérémonies et manifestations officielles nationales et internationales. C'est encore un autre plus qui s'ajoute à la destination Ouarzazate. Son activité touristique et hôtelière va en grandissant, car de nouveaux hôtels ont vu le jour et d'autres sont en chantier et/ou en étude. Les bivouacs et les déjeuners sauvages sont aussi très appréciés par les touristes. Les excursions, les randonnées, le tourisme d'aventure et d'évasion, le tourisme vert, trouvent également leur place dans cet arrière pays, non encore bien exploité, car mal desservi par des vols directs à partir des pays européens. La qualité des prestations du secteur hôtelier est rehaussée par la présence d'un Institut de formation Hôtelière et Touristique et qui lui fourni des lauréats et des stagiaires d'une formation de haut niveau. La province de Ouarzazate dispose donc de toutes les conditions et renferme les atouts et potentialités nécessaires pour devenir une station touristique de séjour, au lieu du passage. Sa capacité d'hébergement est moyenne, mais appelée à se développer dans l'avenir, si des efforts pour la promotion, pour l'augmentation de lignes du transports aériens et pour l'amélioration du réseau routier seront fait, conformément à la règle de l'art. La capacité actuelle de cette province est de : 3452 chambres ce qui est égale à 6820 lits. C'est une capacité qui n'est pas négligeable. Cette province a été choisie cette année, par SA MAJESTE, Le ROI MOHAMED VI, pour abriter la 5éme édition des Assises Internationales du Tourisme, du 14 au 15 janvier 2005. La volonté Royale veut donner à cette destination la place qu'elle lui revient dans la stratégie globale du gouvernement, quant à la vision 2010. Car elle est une destination à cachet unique, cette région est susceptible de mieux vendre le produit du Maroc. Cet arrière pays constitue la plaque tournante du tourisme national et complète les atouts de Marrakech et celui d'Agadir. Un touriste en visite dans ces villes avoisinantes ne peut se passer de cette étape obligatoire. Le Riad el Zaya s'agence autour d'un patio central étroit doté d'une fontaine ou baigne, chaque matin, une grande brassée de roses. A gauche du patio, derrière une somptueuse porte toute de bleu et de motifs peints, s'ouvre un salon cosy baigné de lumières douces et flanqué d'une étonnante cheminée " bulle " où l'on imagine aussitôt le feu crépitant d'un après-midi rafraîchi par l'hiver. Bibelots charmants, ouvrages photographiques d'art, mobilier confortable et original dessiné par le maître des lieux, il règne en ce salon une ambiance propice à la lecture ou au badinage autour d'un thé à la menthe... Voyage Riad el Zaya Maroc : Essouira: Riads, auberges ou hôtels 5 étoiles? (part 1) - voyages, vacances, recit de voyage et carnet de voyageChacune des chambres a son propre charme, sa propre personnalité. Murs blancs agrémentés de sérigraphies ou d'originaux réalisés par les artistes d'Essaouira, très hauts plafonds aux poutrelles de bois saillantes et peintes de différentes tonalités de bleus selon le degré de lumière baignant la pièce, frises de zelliges en hautes plintes, sol aux dalles de terre cuite si chaudes sous les pieds et tapis moelleux composent la base de chacune des pièces. A vous de choisir ensuite le " caractère " de votre chambre : lit à baldaquin, lits doubles surmontés de romantiques moustiquaires en coupole, chambre bleue toute maritime et fraîche avec ses voilages de tafetas tels des filets de pêcheurs tout droit sortis d'un rêve, vaste suite rappelant l'univers des romans de Paul Bowles... Voyage Riad el Zaya Maroc : Essouira: Riads, auberges ou hôtels 5 étoiles? (part 1) - voyages, vacances, recit de voyage et carnet de voyageToutes sont équipées de splendides salles d'eau avec vasques de cuivre jaune, douches dotées d'équipements dernier cri lovés dans une demi-lune de murs recouverts d'un tadelak aux reflets d'or, serviettes moelleuses, savon au miel... Toute la maison respire la volonté d'offrir un réel bien-être. Si Alain et Pascale ne peuvent vous accueillir pour les repas, vous saurez néanmoins apprécier les délices de leurs petits déjeuners servis soit dans le salon de lecture, soit sur le toit terrasse. Jolie porcelaine, pain, crêpes et galettes fraîches et goûteuses, yaourt, fromage ou oeuf sur simple demande, confitures locales délicieuses, jus de fruits et café frais... Bref, tout ce dont on peut rêver de plus sympathique, agréable et chaleureux pour une à plusieurs nuits romantiques, exotiques et paisibles au coeur de l'une des plus célèbres Médina du Maroc. On hésite à employer le mot, tant il est galvaudé. Mais comment ne pas parler de miracle quand on pénètre dans une oasis ? Si « le désert, c'est Dieu sans les hommes », l'oasis, c'est l'oeuvre des hommes seuls, une création née de leur volonté acharnée de survivre, de leur invraisemblable capacité à faire jaillir la vie là où ne régnaient que la pierre et le sable. L'oasis, c'est le murmure des seguias, l'ombre dense des palmiers, le parfum des citronniers, de la luzerne fraîchement coupée et des terres labourées. Un miracle, en effet, mais un miracle qui doit tout à la sueur du fellah... On ne visite pas une oasis, on la goûte, on la hume, on y guette au lever du soleil les premiers chants d'oiseaux et les brumes rases qui frôlent les carrés de luzerne, on y attend la paix du soleil couchant quand hommes et bêtes remontent fourbus au village. Menacées par l'exode des paysans vers les villes, par le manque d'entretien des khettaras et des seguias, beaucoup sont inexorablement reprises par le désert. Il en reste heureusement d'admirables. À parcourir celles de Tineghir, de Fint, de Tagounit ou de la vallée du Draâ, on comprend comment des tribus du désert ont pu inventer, il y a des millénaires, le mythe du Paradis terrestre.

 

 

 

 

 
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